À titre de professionnel en développement économique, votre actif le plus précieux est votre réseau de contacts. Comme le dit l’adage, c’est pas ce que tu connais, c’est QUI tu connais! Et la valeur du réseau ne repose pas vraiment sur la quantité, mais sur la qualité. Construire, développer et entretenir son réseau mérite donc qu’on y investisse le temps et les efforts nécessaires, qu’on établisse sa stratégie de réseautage.
Bien sûr, avec l’arrivée et l’évolution des réseaux sociaux, les méthodes et les lieux pour établir ces fameux contacts se sont transformés, offrant de nouvelles opportunités. Mais connaissons-nous vraiment les relations qui nous entourent ? Comment s’y prendre pour faire réellement connaissance ? Comment se démarquer et développer des contacts lors d’évènements ?
L’APDEQ, Stratégies Immobilières LGP et Espace Stratégies unissent leurs forces et proposent aux membres de l’APDEQ des cellules virtuelles de codéveloppement.
L’APDEQ, Stratégies Immobilières LGP et Espace Stratégies unissent leurs forces et proposent aux membres de l’APDEQ des cellules virtuelles de codéveloppement.
Depuis quelques années, le phénomène de rareté de main-d’œuvre et la croissance du commerce électronique transforment le secteur du commerce de détail. Ajoutez à cela une crise sanitaire mondiale qui ne finit plus de finir, des difficultés d’approvisionnement et un taux d’inflation qui met la table à une éventuelle récession. En réaction, le secteur du commerce de détail et les municipalités examinent des approches différentes, et proposent des idées novatrices.
Depuis la création en décembre 2020 du Conseil de l’innovation du Québec par le Ministère de l’Économie et de l’Innovation, l’innovation ne cesse de faire parler et de grandir au Québec. En partenariat avec l’Association des professionnels en développement économique du Québec (APDEQ) et en collaboration avec le gouvernement du Québec, Accès Entreprise Québec et l’École des entrepreneurs du Québec, le Conseil de l’innovation est fier de vous présenter le programme d’attestation Niveau 1 de Conseiller.ère en innovation du Québec.
La rétention des entreprises existantes demeure un enjeu de taille pour la santé et le développement économique de toute communauté, aussi important que le démarrage de nouvelles entreprises. Or, nous le savons tous, un nombre important d’entreprises risque la fermeture (ou la vente à l’étranger), faute de repreneur ou d’une préparation adéquate de la part du propriétaire-dirigeant. Dans leur rôle de conseiller, les intervenants en développement économique seront appelés à accompagner cédants et repreneurs à travers les étapes du processus de transfert d’entreprise, en compagnie d’experts (notamment les conseillers du Centre de transfert d’entreprise du Québec).
Les territoires misent sur leurs atouts pour se développer. La situation économique actuelle les force à actualiser leur approche au développement. De leur côté, les entreprises doivent accroître leurs capacités à se développer différemment, en misant davantage sur l’innovation et la collaboration.
La/la professionnel(le) en développement économique agit comme ressource intermédiaire en appui au développement des collectivités et des entreprises locales. Ses actions viennent supporter les choix stratégiques des élus, des entrepreneurs et des promoteurs. Il ou elle accompagne les acteurs de sa collectivité à formuler des stratégies, à concevoir des projets et à les intégrer dans la stratégie de développement du territoire.
La mission de développement économique local et régional est en perpétuelle évolution, notamment influencée par les politiques publiques et les pratiques. Les rôles assumés par les professionnelles et professionnels en développement économique se sont évidemment transformés au fil du temps, de même que les compétences exigées qui se sont multipliées et complexifiées.
Les professionnelles et professionnels qui œuvrent au sein des collectivités locales et régionales sont avant tout des conseillères et des conseillers pour les élus, les entreprises, les organismes et les institutions locales des territoires. Supports à la décision, ils et elles conseillent les acteurs et mettent en œuvre un ensemble d’activités permettant de créer les conditions favorables au développement économique. Ils et elles participent au processus même de développement local, favorisent la participation des acteurs, suscitent des projets de développement et facilitent le travail partenarial.
Quel que soit son champ d’action, on s’attend à ce que le professionnel en développement économique et territorial soit capable de conduire un projet de sa formulation à sa réalisation jusqu’à son évaluation. Cela permet de répondre, sur un territoire, à la demande d’un public identifié, entreprise, groupe ou institution. Toutefois, le rôle du professionnel en développement économique dans un projet en sera surtout un d’accompagnement. Son attention se concentrera alors le plus souvent sur la conception du projet, son lien avec la stratégie globale de développement du territoire et la mobilisation des ressources nécessaires au projet.
En 1980, M. Paul-Arthur Fortin, convaincu que « l’entrepreneurship est le meilleur antidote à la pauvreté », lance la Fondation de l’entrepreneurship, une organisation dédiée à l’entrepreneur et à la promotion de la culture entrepreneuriale. Aujourd’hui, on ne compte plus les organisations investies dans le soutien, d’une forme ou une autre, à l’entrepreneur et à l’entrepreneuriat. Au Québec, le développement économique est essentiellement nourri par l’entrepreneuriat local (selon Statistiques Canada, 53% des entreprises au Québec, comptent 5 employés ou moins). Le soutien à l’entrepreneur et la promotion de l’entrepreneuriat doivent alors figurer au cœur de toute stratégie de développement économique.
L’APDEQ sert les artisans du développement économique au Québec en leur proposant des formations, en stimulant la mise à profit de leur réseau et en contribuant à la valorisation et à la reconnaissance de leur profession.
Une attestation de participation sera décernée au participant, dans la mesure où le taux d’absentéisme n’excède pas 20 % des heures prévues à la formation.